kayakistes
L’ÉQUIPE FÉMININE française DE KAYAK
Des femmes qui s’assument, bien dans leur corps et dans leur tête. À la fois exceptionnelles, tout en étant « comme tout le monde ».
Des femmes d’aujourd’hui, bienveillantes, déterminées et positives. Des héroïnes modernes, sans chichi.
Célébrons l’empowerment, les femmes libres et pétillantes à travers une collaboration inédite !

Pourquoi le Kayak ? Un sport en phase avec les valeurs d’I.Code, à la fois RSE et accessible, un sport d’équipe mettant en avant le sens de l’effort. Cette collaboration illustre parfaitement notre collection « sport chic », un pilier fort dans l’ADN de marque I.Code.
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la performeuse
Son club : Entente sportive Anjou Canoë Kayak, Maine et Loire (49)
Ses titres : Championne de France de vitesse sur 200m - 9è en Kayak 4 places et quart de finaliste en monoplace 200m aux J.O de Tokyo
Son mantra : « Le sport est une fabuleuse école de la vie. »
Son parcours : Depuis toute petite, Vanina a eu la chance de grandir dans un environnement égalitaire, où le sport était une évidence.
Après 7 années en équipe de France junior, elle intègre l'équipe de France senior et le pôle France olympique en 2020. Elle y remporte les sélections équipe de France deux ans de suite et participe à ses premières finales en championnats internationaux.
Les jeux olympiques de Tokyo (2021) ont été un accomplissement dans sa jeune carrière, avec une 9ème place en K4 et quart de finaliste en monoplace 200m.
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l'infatigable
Son club : Club de Périgueux, Dordogne (24)
Ses titres : Quadruple championne du monde en Kayak de descente en eau vive, 3e participation aux J.O (Rio, Tokyo, Paris)
Son mantra : « Le travail et la persévérance, avec une pointe d'endurance et de motivation, m'ont permis de réaliser mes rêves ! »
Son parcours : Petite, Manon voulait être masseur-kinésithérapeute. Et le kayak est entré dans sa vie. Comment ? Par son frère, qui décide de s’y mettre suite à la victoire de Tony Estanguet aux J.O d’Athènes (2004), mais pas tout seul !
Elle tombe alors amoureuse de la discipline, dès le premier coup de pagaye. Pourquoi choisir ? Championne du monde individuel en descente, en 2016, elle est aussi diplômée en tant que masseur-kinésithérapeute depuis juin 2017. Elle est passée à la course en ligne, pour assouvir son rêve de Jeux Olympiques. Après 12e à Rio en 4 places, 7e à Tokyo en biplace, elle compte bien grappiller encore quelques places pour Paris 2024 !
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la passionnée
Son club : Entente sportive Anjou Canoë Kayak, Maine et Loire (49)
Ses titres : 11è en K4 500m à la Coupe du monde (2023)– 16è en K5 au Championnat du monde (2023) - Triple championne d’Europe de descente de rivière (2021)
Son mantra : « Dans le kayak, on peut se faire plaisir ! »
Son parcours : Entraînée très jeune par son papa, puis son ex-conjoint, lui-aussi athlète de haut niveau, elle est formée par Philippe Boccara, kayakiste médaillé en 1984, expatrié en Californie, aux Etats-Unis. Passionnée, elle ne voit, aujourd’hui, aucunes contraintes à passer toute sa vie à faire ce qu’elle fait ! Arrivée dans le monde de la compétition très tardivement, elle est pourtant classée parmi les meilleures mondiales en descente de rivière (elle rêve de devenir championne du Monde) et se lance dans un pari audacieux : s’imposer aussi sur les plans d'eau, grâce à la course en ligne. Et après ? Direction Los Angeles et les J.O de 2028 !
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des femmes inspirantes
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Le kayak de course en ligne, c’est quoi ? C’est une discipline qui se pratique en eau calme, sur un bassin aménagé, un lac, une retenue d’eau d’un fleuve ou un canal. Le but ? Franchir, en première, la ligne d'arrivée ! En compétition, il existe plusieurs types de distances : la vitesse (seule distance olympique), sur 200 m, 500 m et 1 000 m, et le fond, sur 5 000 m. Les bateaux de course en ligne, kayaks ou canoës, sont dotés d'une coque en V, profilée et extrêmement instable, permettant d'optimiser la glisse, et d’un gouvernail, actionné au moyen d'une barre de pieds, située sur le cale-pied. En monoplace (K1), biplace (K2) ou 4 places (K4), les kayakistes utilisent une pagaie double dite cuillère, en fibres de carbone, comme les bateaux, accentuant de légèreté. C’est en 1924, lors des Jeux de Paris et sous l'appellation "canoë canadien", que le canoë-kayak fut présenté, lors d’une démonstration sur le plan d'eau réservé aux épreuves d'aviron. En 1936, la course en ligne deviendra une des épreuves officielles des Jeux. Aujourd’hui, et plus que jamais, le canoë-kayak véhicule une image de sport moderne, plutôt écologique et proche de la nature.
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